Des alcools italiens depuis longtemps très appréciés
Limoncello, Amaretto et Aperitivo sont certainement les plus connus. Mais Grappa, Arancino ou Crème de café ont aussi de nombreux amateurs. Les alcools italiens, c’est une façon de savourer l’Italie. Ils ont le parfums des fruits, des baies et des herbes de ce beau pays baigné de soleil.
Glacés, ils prolongent les douces nuits d’été, à la table des petites trattoria ou des bonnes pizzeria que l’on trouve aux quatre coins de la péninsule.
Découvrez ceux que nous avons sélectionnés pour vous, et dégustez-les avec vos amis, tranquillement installés chez vous.
Nos alcools italiens préférés
Nous vous proposons une belle gamme d’alcools italiens. Issus de petites distilleries artisanales en Émilie Romagne, en Toscane ou en Campanie.
La diversité des alcools italiens
L’Italie est diverse par ses alcools comme elle l’est par ces plus de 300 formes de pâtes. Les régions ont des traditions différentes. On trouvera par exemple des liqueurs à la bergamotte, à la mandarine, au fenouil, à la chataîgne, à l’artichaut, à la noix, à la myrte, … sans parler des nombreux Amaro. Une bien belle diversité d’alcools en Italie !
Quels sont les différents types d’alcools italiens
Quelles sont les différences entre les différents alcools italiens ? Leur degré de douceur permet de les classer en crèmes, sucrées ou sèches.
– Les crèmes sont souvent des boissons peu alcoolisées (de 15 à 28 degrés) , comme la crème de café, celle de chocolat, celle de pistache ou celle de gianduja. Elles sont utilisées comme base de cocktails ou pour réaliser des recettes de desserts.
– Le groupe des liqueurs douces comprend les grands classiques comme la sambuca, le limoncello, l’arancino, l’amaretto et bien d’autres. L’ingrédient principal est souvent un fruit ou une herbe aromatique qui donne des notes veloutées et fraîches. Beaucoup d’entre elles sont appréciées comme digestifs mais on les retrouve aussi souvent dans les cocktails ou dans des desserts.
– On trouve enfin les liqueurs sèches, avec la grappa et les bitters. L’Italie en est très bien dotée en liqueurs amères. L’Amaro se boit souvent en fin de repas comme digestif. Elles sont souvent à base d’herbes aromatiques et de racines, comme la gentiane.
Petite histoire des alcools italiens
L’Italie a toujours été considérée comme l’une des nations de référence en matière de liqueurs, non seulement du fait d’une longue tradition enracinée dans de nombreuses familles porteuses de savoir-faire artisanaux transmis de génération en génération. Des savoir-faire dans la préparation de boissons alcoolisées par macération d’épices, de fruits et de diverses plantes. Les alcools italiens ont permis la création de très belles entreprises qui ont diffusé leurs produits dans le monde entier.
Quelques exemples avec Campari, né à Milan en 1860, sur les fondations duquel s’est développé le groupe du même nom, ou à Disaronno, la marque emblématique dont les origines remontent à 1600 et, bien sûr , à Aperol, présenté pour la première fois vu au salon de Padoue en 1919 et aujourd’hui considéré comme l’apéritif par excellence avec le succès mondial du Spritz.
Bien sûr, comme souvent en matière d’alcools, l’histoire est très ancienne.
Comment sont élaborés les alcools italiens ?
Les alcools ou liqueurs sont des solutions d’eau, d’alcool, de sucre et d’arômes (comme des épices, des herbes, des fruits ou un mélange de ces ingrédients). Elles peuvent provenir d’infusions de plantes dans de l’alcool (généralement entre 90° et 98°) et d’un mélange ultérieur avec de l’eau et du sucre. Elles peuvent aussi être issues de la distillation d’alcool dans lequel les arômes sont macérés. La péninsule et ses nombreux fruits, ses nombreuses herbes, ses forts liens commerciaux avec le monde, permis le développement des nombreux alcools italiens.
Petite histoire des liqueurs et alcools italiens
Un élixir, directement obtenu à partir de la distillation et de l’infusion d’herbes, se retrouve pour la première fois en Italie lors du Jubilé de 1300. Le prix de l’alcool était cependant très élevé à l’époque et la distillation, qui restait encore à perfectionner, produisait trop de déchets et était très coûteuse. Ainsi son usage resta longtemps l’usage exclusif des médecins alchimistes et des abbayes qui régnaient sur la phytopharmacie.
Pendant la Renaissance italienne, et précisément dans la première moitié des années 1500, lorsque Catherine de Médicis épousa le roi Henri II de France, elle amena avec elle, outre des cuisiniers et des pâtissiers, quelques marchands d’alcool florentins. Ceux-ci commencèrent la production de liqueurs sucrées pour la cour à Paris, comme c’était déjà le cas à la cour florentine. Les alcools italiens avaient commencé à conquérir le monde.